Jean-Sébastien Sauvageau – Le drapeau rouge
Jean-Sébastien n’est pas l’archétype du «coach potato», mais de son propre avis, vint un moment dans sa vie où il a fallu qu’il se prenne en main.
Ex-Ironman, Patrice n’a ni accroché son wetsuit, ni son vélo, et encore moins ses chaussures de course. Disons plutôt qu’il est plutôt en mode entraînement perpétuel qu’en mode compétition. Son nouveau terrain de jeux de prédilection? Les sentiers des forêts de Saint-Faustin qu’il parcourt à la course. Il ne boude tout de même pas son plaisir et aime toujours fouler le bitume des rues de Montréal.
Ex-Ironman, Patrice has not hung up his wetsuit, nor his bike, and even less his running shoes. Let's just say that he is more in perpetual training mode than in competition mode. His new playground of choice? The trails in the forests of Saint-Faustin that he runs across. He nonetheless still enjoys running on the streets of Montreal.
Jean-Sébastien n’est pas l’archétype du «coach potato», mais de son propre avis, vint un moment dans sa vie où il a fallu qu’il se prenne en main.
Elissa est tombée dans la course à l’âge de 9 ans. Via le cross-country. « On m’avait proposé de participer à une compétition (2 km), je trouvais ça cool de manquer une journée d’école. L’entraîneur, qui est aussi un ami de ma mère, me voyant peiner pendant les 500 premiers mètres. Il lui a dit que ce n’était pas étonnant, car selon lui, je ne m’étais pas entraînée sérieusement. Comme je suis compétitive, je me suis ressaisie et j’ai terminé troisième ». La glace était brisée.
Il court depuis qu’il est jeune et a entrepris des défis des plus inusités. Découvrez la vie trépidante de ce grand passionné de la course à pied.
Ma mission : donner le goût du sport aux jeunes afin qu’ils développent plus tard de saines habitudes de vie.
« Je me suis ensuite remise à courir, mais comme une débutante. Je n’ai pas couru de marathon depuis, mais je participe à au moins un demi-marathon par année. À chaque course, à chaque foulée, je célèbre la vie. » Découvrez le parcours ponctué de gratitude de Céline Daigle.
En 2018, Sébastien Roulier est devenu le coureur de marathon le plus rapide sur la planète à parcourir les 42,2 km en poussant en fauteuil roulant une personne vivant avec un handicap en un temps de 3h01:01.
Ce chercheur qui court depuis toujours a un souvenir très précis du moment où il a su qu’il allait consacrer sa vie à la lutte contre le cancer. C’était en 1980, lorsqu’il a vu Terry Fox à la télévision.
Anne-Marie Comeau est la première femme à avoir franchi le fil d’arrivée du 21,1 km au Marathon de Montréal en 2018 avec un temps de 1:14:46. Du coup, elle enregistre le meilleur temps pour une Québécoise.